Paru le: 30-04-2025
Editeur: Les éditions Ovadia
Isbn: 978-2-37872-056-8
Ean: 9782378720568
Prix: 20 €
Caractéristiques:
200 pages
Genre: Littérature
Thème: Romansdegenre
Thèmes associés:
Les Prolocataires

J’observe le monde
Et je résume
La seule véritable évidence :
Les années 80 commencent !
Marilène : partie féminine du duo OLMAHE, cinquantenaire passionnée, amoureuse de la littérature, de la musique, des voyages et de la vie en général, a grandi dans les années 80 et en a gardé l’énergie et l’optimisme de cette décennie. Romancière à plein temps depuis 5 ans, les Prolocataires est en partie inspirée par les souvenirs de son adolescence.
Olivier : partie masculine du duo OLMAHE, après avoir commencé sa vie par une première scientifique, une terminale littéraire et un cursus économique, a acquis la passion des livres en général et de l’Histoire en particulier sur presque 50 ans. Après avoir rencontré Marilène, ils ont donc fait le pari de restituer l’époque des années 80 de locataires à Strasbourg, entre leurs sensibilités, leurs priorités et l’actualité : politique, musiques, drames nationaux, adolescence.
Au début des années 80, la vie de Charles Müller semble parfaitement tracée. Look parfait, job parfait, fiancée parfaite, rien ne semble pouvoir se mettre sur sa route et ce vieil immeuble qu’il a acheté dans le quartier de la Petite France à Strasbourg sera certainement une intéressante opération financière. Mais il arrive que l’Histoire se mette en travers du chemin des Rois du Monde. Le 10 mai 1981, Mitterrand est élu et la vie de Charles s’effondre. Il est contraint de loger dans ce vieil immeuble et de louer les autres appartements. C’est dans ces circonstances imprévues que tout va changer une nouvelle fois. Pour le pire...ou pour le meilleur ?
Quatorze heures sonnent tout juste à l’horloge murale quand la sonnette de l’entrée retentit. Charles ouvre et se trouve face à une jolie fille en strict tailleur gris perle, des lunettes en écaille devant ses yeux verts et des cheveux blonds en boucles serrées. L’austérité de sa mise est démentie par deux chaussettes de couleur différente: l’une grise, l’autre noire, mais avec Minnie et son éclatant sourire pour les enfants. Ce cheveu dans la soupe interloque tellement Charles qu’il la dissocie totalement de la première visiteuse.