Romans de genre, romans noirs, policiers et thriller

128APR-AC-IEF. 1dC

Paru le:  30-06-2019

Editeur:  Les éditions Ovadia

Isbn:  978-2-919342-38-9

Ean:  9782919342389

Prix:  22 €

Caractéristiques: 
284 pages

Genre:  Romans

Thème:  Romansdegenre

Thèmes associés: 

128APR-AC-IEF. 4dC

Intenses et fugitives

L’aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes.

Albert Carlin a fait ses études en Lettres Sup à Nice, puis a réalisé une licence de Lettres Modernes et un D.E.S. à Aix-en-Provence. Après son Capes de Lettres Modernes, il enseignera à Mâcon, Madagascar, la Réunion, Tahiti. Il vit actuellement sur l’île de la Réunion.

INTENSES ET FUGITIVES fait suite au roman UNE MAUVAISE FRANCAISE? dont Pascale, l'héroïne assassinée, hante depuis lors l'esprit du narrateur.
Pour les amateurs de scènes érotiques, le chapitre intitulé MADAGASCAR offrira d'audacieuses perspectives sur le thème. Et variées.
Et aux lecteurs épris de récits d'aventures comme de romans policiers, les deux derniers chapitres ne devraient pas déplaire: ainsi, depuis l'île de la Réunion, comment soustraire aux enquêteurs une meurtrière affolée quand on dispose d'un ami risque-tout et pilote privé, d'un guide de chasse malgache dévoué et que Madagascar se trouve à moins de huit cents kilomètres de l'ancienne île Bourbon?
Enfin, pour quelle raison cette meurtrière, revenue en misouk à la Réunion, entraînera-t-elle dans une mort aérienne sa dernière conquête féminine ? Au regard de notre société devenue sourcilleuse, un tel roman ne peut être que sulfureux.

"Il fallait que sa mort me fût remise ". C’est par cette phrase que prenait fin le roman Une mauvaise Française ? C’était, mutatis mutandis, comme un équivalent langagier des descentes de croix. Jamais je n’aurais pensé qu’il pût avoir une suite. Puisque Pascale avait été assassinée et qu’aucune enquête, à ma connaissance, n’avait réussi à débusquer le meurtrier. Qu’aurais-je pu tenter afin de la protéger de ses démons ? Voici que j’utilisais un vocabulaire tout fait — un vocabulaire d’importation, aurait ricané Olivier Kerne. Démons, et pourquoi pas anges ? Pascale, rendons-lui cette justice, succombait régulièrement à cet emportement qui gagne tous les séducteurs : l’ivresse des commencements. Succombait ou s’exaltait ?